Nouvelles et activités de Maryam Radjavi

Maryam Radjavi

Publié le : 19 novembre 20205 mins de lecture

La femme Iranienne Maryam Radjavi a prononcé de plusieurs discours, national qu’international, pour sa résistance pour le bien du peuple iranien. Des discours prononcés lors des visites ou l’invitation devant des différentes sortes d’institution international et des parlement Européenne. Le teneur de son discours tourne autour de son idéologie sur le changement de régime en Iran et la résistance iranienne, contre le régime de la république islamique iranien ou le chah. 

La politique orientale 

Quand on parle de l’histoire du droit de l’homme dans les pays orientaux, tel que l’Iran ou les peuples iraniens, c’est la notion de l’inégalité entre le droit de l’homme et de la femme qui est venue en premier à l’esprit. C’est une idéologie ancienne refondée par les différentes sortes des révolutions ou des résistances menés par plusieurs entités national qu’international, comme la résistance iranienne. De nos jours, le nombre de la femme iranienne qui occupe une place importante, tant sur le plan politique que social, ne cesse d’évoluer depuis la dernière décennie. L’exemple type de cette perception est la grande femme Iranienne Maryam Radjavi, qui est connue pour sa hardiesse d’opposer le régime adopté par le pays, c’est-à-dire la République islamique d’Iran. Qui est, alors cette fameuse femme iranienne Maryam Radjavi ? Voici un lien util : https://www.maryam-rajavi.com/fr/maryam-rajavi.com

Une des leaders politiciennes Iranienne 

Maryam Radjavi ou Maryam Ghajar Azdanlou est une activiste et une politicienne Iranienne à l’étranger, qui oppose la république islamique d’Iran à travers le Conseil national de la résistance des peuples iraniens ou bien le CNRI, dont elle est le président et l’un des membres-fondateurs de cette organisation. Cette organisation est une sorte de plateforme en opposition international regroupé par plusieurs entités contre le régime de la République islamique d’Iran, plus précisément lutte contre le Chah et incite sur l’abolition de la peine de mort en Iran. De plus, elle a occupé divers autres postes politiques et stratégiques pour l’aboutissement de ses idées de changement et de la résistance iranienne, comme secrétaire générale de l’OMPI ou organisation des Moudjahidine du peuple d’Iran, qui est l’organe principal membre de la CNRI. Elle a déjà participé à l’élection législative en Iran en 1980.

L’idéologie de Maryam Radjavi face à la peine de mort

L’une des principales idéologies consacrées par la fameuse opposante iranienne Maryam Radjavi est la lutte contre la peine de mortoù bien la révolution pour abolition de la peine de mort en Iran ou la peine capital. Maryam Radjavi est l’un de victime iranienne de cet agissement, car sa sœur ainée enceinte a été massacrée par la force de l’ordre de la république islamique d’Iran ou le chah en 1975. Son Mari aussi a été victime d’une exécution illégale de l’Etat de la république d’Iran. Elle estime toujours lors de son discours, que la plupart du peuple iranien sont anxieux et terrorisés par cette terrible accusation injuste effectuée par le régime de Chah de l’Iran, qui n’a même pas passé par aucun processus judiciaire. Jusqu’à nos jours, plusieurs d’Iraniens sont condamnés à la peine capitale et des milliers sont exécutés en secret par l’autorité du régime de l’Etat islamique d’Iran, d’après une source fiable, selon Maryam Radjavi. Cette revendication de l’abolition de la peine de mort fait partie dans sa théorie « troisième voie » qui est un plan de projet avancé par Maryam Radjavi, pour le redressement et le changement pour la résistance de l’Etat islamique Iranien. Un programme élaboré par Maryam Radjavi avec la Conseil national de la résistance iranienne ou le CNRI, pour bouleverser les manigances effectuées par la République islamique d’Iran actuelle. Ce projet de résistance iranienne est axé sur plusieurs point, tels que la garantie de liberté de la femme et son égalité avec l’homme, l’abolition de la peine de mort, la lutte contre l’intégrisme et la séparation de la religion et l’Etat. 

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