La résistance iranienne face à la dictature

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Publié le : 20 janvier 20226 mins de lecture

Depuis la mise en place de la République islamique, l’Iran s’est trouvé sous le joug de règles grandement coercitives. Un régime qui est presque traduit telle une dictature, et qui a du mal à être accepté par la majorité des Iraniens. En effet, le chef d’État Ebrahim Raïssi se trouve détaché des diverses maltraitances infligées à la population et donne toute responsabilité au Céleste. Quitte à déclarer un jihad à l’Irak, la population se trouve obligée de voir succéder les différentes manifestations au nom de la liberté. 

Le combat de la gent féminine contre la répression de l’État islamique en Iran 

Sachant que l’État islamique est un régime qui ne laisse aucun privilège à la Femme, cette dernière se trouve alors contrainte d’agir pour faire savoir son déplaisir. Refusant totalement à la nouvelle forme d’exploitation et d’esclavagisme de la gent féminine, les leaders féminins n’ont pas hésité à exprimer leur insatisfaction sur différents lieux publics depuis 2017. Cette prise de conscience de la Femme iranienne fut la conséquence de la sécularisation forcée qui a été imposée par la Reza Shah dans les années 1920. Cette forme de révolution brusquement initie la femme iranienne au mode de vie occidental. Un phénomène qui a donné une certaine once de liberté à la femme. À présent, la vie semble s’écrouler pour Celle-ci, car elle se trouve contrainte à se détacher de la société qu’elle avait appris à comprendre sous-peine de grande sanction corporelle. À titre informatif, cette dernière serait un ensemble de règlements religieux qui permettent de fixer les sanctions à infliger à une personne selon les infractions commises par cette dernière. Dans l’objectif d’en savoir davantage sur les manifestations tenues par la femme, il serait mieux de consulter le site maryam-rajavi.com.

La lutte du peuple iranien contre l’exaction de pouvoir des Mollahs 

À savoir, les dirigeants de l’État islamique se désignent avant tout comme des érudits. En musulman, cette appellation lui vaut le titre de « mollahs ». À ce titre, ceux-ci se donnent la permission d’utiliser et d’interpréter les écrits coraniques afin d’asseoir leur pouvoir. Depuis la prise de pouvoir de AYatollah Khomeini, l’État a dû faire face à plusieurs soulèvements. Encore récemment, les Iraniens du Sud-Ouest ont protesté afin de récriminer la mauvaise gestion de l’approvisionnement d’eau sur l’intégralité du pays.

De plus, le gouvernement iranien ne cesse de diminuer le débit de l’Internet afin de conserver certaines informations et de ne pas créer une panique générale. Toutefois, les tentatives de soulèvement n’ont pas pu empêcher la République islamique d’asseoir leur pouvoir sur l‘iran résistance vu qu’elle continue à bafouer les droits de l’Homme en mettant à mort les opposants politiques et en sanctionnant la liberté d’expression. À cet égard, un centre qui vise à faire respecter le droit de l’Homme a vite pris naissance. 

La démocratie : la finalité du combat des militants iraniens 

Inopportunément, le concept de « démocratie » reste controversé en Iran étant donné que le régime actuel se dit être un pays démocrate malgré la contradiction de cette affirmation avec la réalité conjoncturelle. Cette contradiction s’explique par le fait d’illustrer un semblant d’acquiescement du concept (Droit de l’Homme) dont l’unique but de garder le titre de « démocrate ». Une stratégie d’envergure qui l’a obligé d’accepter le droit de vote.

Toutefois, la notion de théocratie semble grandement présente dans le pays, car il est régi sous les lois coraniques (une charia atténuée). Effectivement, il existe un grand écart entre la notion de démocratie et de théocratie. Suite aux non-aboutissements de plusieurs manifestations, les opposants politiques se devaient de soutenir une personnalité publique pour tenir tête au régime autoritaire du Chef religieux. À cet égard, Hassan Rohani n’a aucun mal à être élu Président de la République pendant deux mandats consécutifs. Malheureusement, son arrivée au pouvoir n’a pas apporté d’énorme changement sur la situation oppressante étant donné que le gouvernement lui-même a subi une grande influence de la part du système répressif. 

Le respect du Droit de l’Homme : le combat persistant du peuple iranien 

Une restriction sur la vie de l’Iranien est un frein pour l’épanouissement du pays. Le combat pour la liberté n’est pas animé par l’attachement de l’Iranien à la superficialité occidentale, mais plutôt à l’idée d’émergence dans une culture commerciale uniformisée. Ayant signé tous les traités sur le respect de droit de l’Homme (la charte des Nations Unies, le Protocole Facultatif contre les traitements inhumain …). Le régime actuel est alors tenu de faire profil bas par rapport à la résistance iranienne populaires étant donné que cela lui coûterait les rapports existants entre l’Iran et les autres pays signataires de ces conventions. Pourtant, la réalité ne cesse de prouver la non-volonté de l’État islamique à adhérer à ces lois internationales vu que l’Iran serait un des premiers pays qui accordent de l’importance à la peine de mort et aux tortures via la Charia. 

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